Sachiko guide Eileen qui emmene Christine (lol le titre)

Il marcherent ainsi pendant....Sachiko ne savais pas combien de temps,peut etre a peine 5-10 minutes mais elles lui avaient parues une eternité...Elle se retourna pour regarder si Eileen etait toujours derriere elle.Ils arrivaient au bout du couloir.Elle lui designa une porte.

"C'est la"

Elle lui ouvrit pour lui permettre de passer,lui indiqua le lit de Christine.

"Ma chambre est juste a coté..."

*Sa sert a quoi de lui dire -__- ??*

Il avait porté la jeune femme jusqu'à sa chambre, mais il ne ressentait aucune fatigue. C'était une urgence avant tout, et celle-ci avait besoin de repos tout simplement. Il ne pouvait pas faire grand chose sauf de lui permettre d'un repos reposant. Et il devait bien sûr avoir aucun infirmier. Il déposa Christine sur son lit en faisait bien attention à la tête. Il la recouvrit d'une couverture avant de se retourner vers Sachiko. Sa première journée de travail, et cela devait tourner en catastrophe. Il savait qu'elle dormait dans un sommeil correct, car c'était lui qui s'en était occupé.

"La mienne ne doit pas être loin non plus, dit-il, je ne m'en souviens plus trop"

L'interrogation était collé à son visage tellement qu'il était perdu. Il s'assit sur une chaise. Il voulait être là quand la jeune femme va se réveiller. Il devait vérifier s'elle avait mal même après que ça soit calmé. D'un signe de main, il proposa à celle qui l'avait aidé à s'asseoir et attendre avec lui.

"J'espère qu'elle ira mieux en son réveil", murmura-t-il.

Christine se réveilla quelques minutes plus tard. Elle mit uun certain temps à emmerger, puis se souvint : la caféteria, la chaise.... Elle avait toujours ce mal de tête significatif de lorsqu'elle utilisait son pouvoir. Mais son premier geste n'alla pas à son front douloureux, mais à sa longue cicatrice autour de son cou. Tout était fichu... Tout. A présent, tout serait comme d'habitude. La peur de se promener dans les couloirs bonndés, l'angoisse dans ceux qui étaient vides que quelqu'un ne soit embusqué quelque part... Elle avait pourtant tout essayé... Elle avait essayé de changer, mais toujours cela revenait. Elle avait juste espéré que ce soit un peu plus long, cette fois-ci.
Soudain, elle sembla s'appercevoir de la présence du surveillant et de Sachiko. Elle sursautta. Que leur voulaient-ils ? Pourquoi étaient-ils là ? Son visage eut un air affolé durant un instant, puis elle reprit constance. Elle reprit ce visage fermé et plein de fausses émotions qu'elle arborait habituellement. Ce sourire faux qui sonnait encore plus faux qu'à l'habitude. Mais son coeur battait de plus en plus vite, menaçant de faire exploser sa poitrine. Elle essayait de ne pas y penser, tout commme de ne pas penser à sa tête... Mais pourquoi, pourquoi elle ? Qu'avait-elle donc fait pour mériter ça ?

(desolée j'attendai qu'Eileen reponde jsuis pas douée -.-)

Sachiko vit que Christine se reveillait.Elle ne bougea pas,voulant la laisser reprendre ses esprits,ce qu'elle sembla faire.Elle avait l'air d'avoir encore mal a la tête.Elle sembla d'un coup voir Sachiko et Eileen.Elle eut une ou deux seconde l'air effrayé.Sachiko encore une fois ne savait pas trop quoi dire et balbutia un:
"Tu as...tu as encore mal a la tete ?"

Mal à la tête ? Oh, oui, elle avait encore mal... Et pas seulement à cause de son dernier "exploit". A présent, elle était seule. A nouveau. Elle ne pouvait plus compter sur personne. Ils la dévisageraient, la haïront. Et ceux qui ne la haïraient pas la craindront. Toujours, tout serait toujours pareil. Elle serra les draps de son lit de ses mains affaiblies pour cacher leurs tremblements compulsifs. Qu'attendaient-ils donc ? Pourquoi restaient-ils là, devant elle, sans bouger ? Elle secoua la tête négativement, agitant ses cheveux noirs emmèlés. Pourquoi dès à présent ? La trève avait été de si courte durée...

"Est-ce que tout va bien?", dit-il.

Il attendait qu'elle lui répond. Aucun autre mot ne sortit de sa bouche, et il ne portait aucun jugement sur ce qui s'est passé. Il se leva pour se rapprocher de la fille. Il posa sa main sur son front pour vérifier qu'elle ne faisait aucune fièvre. Il espérait qu'elle n'avait rien. Un présentiment lui disait qu'autre chose se passait. Il se questionna sur la situation. C'était assez gênant de tomber ainsi, mais on en revenait. Il ne connaissant pas son passé.

"Que se passe-t-il donc?, murmura-t-il, je crois qu'il y a d'autres choses qui se passent, et si tu veux en parler je suis là"

Il avait dit ses mots d'une façon douce. Il était un homme attentif, et il n'aimait pas voir des gens ainsi. Il posa un regard sur l'autre jeune fille. Il offrit un petit sourire à Christine pour l'encourager.

(je suis désolé pour le temps que ça m'a prit.. mais je suis en plein examen et autres)

Mais que lui voulaient-ils donc ? Ce surveillant lui demandait ce qui n'allait pas... Il semblait vraiment sincère. Son coeur se serrait, elle se sentait prête à s'effondrer de larmes, mais son visage resta impassible. Elle avait de l'entraînement. Seul un léger tremblement de ses mains traduisait son mal-être. Que devait-elle répondre ? Pouvait-elle faire confiance à cet homme ? Et à la jaune fille ? Mais que lui voulaient-ils donc ! Pourquoi l'avoir menée ici ? Pourquoi ne pas lui dire tout de suite qu'elle était convoquée dans le bureau du principal et qu'elle croulerait bientôt sous les heures de retenue ?
Peut-être étaient-ils réellement sincères, après tout... Peut-être... Peut-être qu'ils l'accepteraient, ici ?

*Arrête de rêver, ma pauvre. Personne ne t'a jamais acceptée, personne ne t'acceptera jamais. *

Elle décida cependant de leur faire confiance. C'était un geste inconsidéré, et son coeur se serrait d'autant plus qu'elle savait qu'elle le regretterait. C'était peut-être un vestige de sa nature de petite fille naïve, disparue depuis bien longtemps. Elle leur parla d'une voix blanche, d'où elle s'efforçait de ne faire parraître aucune émotions, mais une ressortait de façon flagrante : la crainte.

"Non, je... Tout ne va pas bien... Peut-être que je devrais rentrer dès maintenant chez moi. De toute façon, tout est perdu à présent... "

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